The Retaliators : Original Motion Picture Soundtrack

The Retaliators est attendu le 15 et 16 septembre dans les cinémas ! Ce film d’horreur raconte le parcours d’un père mais aussi homme d’église, qui enquête sur le meurtre brutal de sa fille. Ce dernier va découvrir, au fil de ses recherches, un monde souterrain tordu et sombre… La bande son va comporter de nombreux artistes, comme Tommy Lee (Mötley Crüe), Ivan Moody (Five Finger Death Punch) ou encore Jacoby Shaddix (Papa Roach), qui font également figuration dans le film. A découvrir et écouter via Better Noise, dès le 16 septembre.

On débute avec Sometimes, if you’re lucky,... Une petite introduction qui nous plonge directement dans l’ambiance du film. On suis un dialogue entre deux personnes concernant un démon… On enchaîne tout de suite avec The Ending, par Papa Roach. Un début assez calme et atmosphérique, ponctué de quelques effets digne du générique de Stranger Things. C’est l’arrivée de la guitare qui va tout faire exploser et on retrouve vite la patte du groupe. Le refrain donne un tourbillon d’énergie et de profondeur, le tout rentrant bien vite en tête. We have to get out of here..zombies est un petit interlude, composé de hurlements et autres sonorités assez étrange et rappelant la nature du film.

Avec This Is Mongol, on passe à une ambiance très rock’n roll. Un morceau entrainant et captivant, notamment au niveau du chant. Le schéma tout simple du morceau, nous entraîne rapidement dans son univers et c’est à cela que l’on voit qu’il est rudement efficace. On note également la forte présence de chœurs qui apportent toujours du positif et de la profondeur au tout. On continue avec Blow, par Eva Under Fire, qui nous propose un featuring avec Spencer Charnas (Ice Nine Kills) que j’attendais pas mal ! Et autant le dire tout de suite, je suis clairement déçue, car Spencer, qui s’intègre parfaitement au titre, n’a que quelques phrases sur un temps très court… Mis à part cela, le titre est une véritable bombe, le chant féminin explose de tous les côtés. On retrouve même un petit côté In This Moment lors de passage plus calme. Scars That I’m Hiding commence fort avec une série de chœurs, suivi par un instrumental qui envoie, puis qui redevient calme. Une vraie force ressort de l’ensemble, avec un rythme qui change beaucoup et qui ne nous ennuie pas une seule seconde.

Tell me you have a lead or something est une nouvelle interlude où on suis la discussion de plusieurs personnes à nouveau. On continue avec un titre d’Asking Alexandria, Faded Out, en featuring avec Within Temptation. On reconnait dès la première seconde, notamment grâce à la guitare, l’empreinte d’Asking Alexandria. C’est ambiant et on prend notre temps, jusqu’au refrain qui propulse le morceau et  le chant de Sharon (chanteuse de Within Temptation) renforce sa qualité. On va alterner entre les deux chants et le rendu est dingue. On arrive au morceau que je n’ai pas du tout apprécier, Tops par Tommy Lee et en featuring avec Push Push. C’est un titre très électro et qui colle à un passage radio. Cela casse réellement le rythme de cette première grosse partie.

On repart sur du bon rock avec Classless Act et ce titre donne clairement envie de se dandiner dans tous les sens ! Retour quelques années en arrière, avec un chant très aigu, un trop plein d’énergie. Un titre tout simple mais efficace comme on aime ! I had a nightmare… nous propulse dans une discussion entre parent et enfant. Ce dernier va parler à son père des cauchemars qu’elle fait… Autre titre que j’attendais énormément celui de Five Finger Death Punch, avec la chanson Darkness Settles In. Un début très calme où l’on reconnait rapidement le groupe. La voix d’Ivan arrive et le charme est en cours, il est seulement accompagné d’une guitare acoustique et d’un violon. Puis, d’un coup, tout se met en place et on retrouve la machine qu’est 5FDP. Tout ce qu’on aime est une nouvelle fois réuni ici. Le petit solo de guitare, les sonorités propre aux américains et la voix toujours si envoutante d’Ivan. Un très bon titre qui ne m’a pas déçue !

Tired of Winning / Ships In The Night nous propose un petit punk rock bien sympathique et entraînant. L’ambiance se calme un peu à l’apparition du chant, mais pour une courte durée. Il y a un véritable jeu qui se met en place au niveau du rythme, l’énergie est prête à déborder et on se retrouve avec un morceau qui donne clairement la pêche ! On ne peut pas passer à côté de la forte influence d’AC/DC dans Evil World Machine. Cela colle bien à la bande son d’un film d’horreur et on reste dans le bon mood général. How’d you like one minute.. est une nouvelle interlude et vient clairement calmer le jeu.

Wolf Totem, nous offre un featuring avec Jacoby de Papa Roach. L’ambiance est toute autre et un violon prend rapidement place, donnant une sonorité criarde et malaisante. Le chant ressemble à une sorte d’envoûtement. Le ton est donné et on a pas envie d’y rester bien longtemps. C’est la batterie et la guitare qui vont venir casser l’ambiance en rendant la chose moins étrange. La prestation vocale est impressionnante et celle de Jacoby, qui n’a strictement rien a voir, s’y intègre avec facilité. C’est un gros mélange de pleins de choses qui s’imbriquent, étrangement, bien. On enchaîne avec un autre titre que j’attendais pas mal, celui de Bad Wolves, If Tomorrow Never Comes. On retrouve vite l’énergie dégagée par le groupe. L’ensemble reste assez calme jusqu’au refrain qui explose doucement. Un titre qui reste vite en tête et qui est vraiment chill, avec un petit solo de guitare qui fait vraiment bien le boulot. Avec Burn It Up, on découvre une introduction assez étrange avec des sortes de murmures, le tout mélangé à une sonorité électro. L’instrumentalité se lance et sera vite calmé par le chant. Un morceau entraînant et dont le refrain donne envie d’être hurlé très fort (et surement faux).

Avec Living Dangerous, la batterie est grandement mise en avant et est vite rejointe par un riff à la guitare rock’n’roll au possible. On se retrouve non loin d’une ballade, avec une belle énergie et ce côté chill comme j’aime. On se laisse vite emporter et le featuring avec Dorothy est un gros point positif. Come on Pussycat, let me hear you purr est une petite interlude, qui nous plonge toujours plus dans l’ambiance du film. Who’s That Playing on the Radio ? chamboule tout, avec une ambiance électro qui vient propulser le titre. On retrouve un mélange entre un chant rapé et un chant plus clair, créant un mélange intéressant et qui sait s’adapter au morceau. Sympathique mais pas forcément vers quoi j’aime me tourner le plus.

On continue avec Blame It On The Double qui attaque directement. On retrouve un petit côté country qui renforce directement le côté US. Une chanson toute simple mais hyper entraînante et nous met dans un bon mood pour la suite et fin de notre écoute. Il a trouvé directement une place dans mes titres préférés. On repart sur une petite interlude 10 years ago, où l’on nous raconte une petite histoire survenue 10 ans plus tôt… For The Glory nous fait retourner dans un univers électro et un chant qui n’a strictement rien a voir car il oscille plus vers le style metal. Un titre original et qui se démarque pas mal. On a quelques passages plus calmes avant le refrain et cela ne fait que l’amplifier. Malgré tout, cela reste un titre assez linéaire et c’est clairement dommage car il y a matière a développer.

Dernière interlude avec No cameras et on comprend rapidement qu’il s’agit d’un moment clé du film. On termine cette soundtrack par le thème principal de The Retaliators avec des invités de marque. On débute avec le chant de Danny (Asking Alexandria) qui nous envoûte totalement, encore plus avec l’apparition de chœurs. Le refrain éclate et on est prit dans un tourbillon. Les chants s’enchaînent, se mélangent et cela donne un tout explosif et magique.

The Retaliators a une bande son de qualité, mélangeant des grands noms du genre et des featuring de qualité. On en a pour tous les genres et on en retrouve certains codes propres aux bandes sons de film d’horreur. Une œuvre qui promet de belle chose !

Tracklist : 

Sometimes, if you’re lucky…
Papa Roach – The Ending
We have to get out of here..zombies.
The HU – This Is Mongol
Eva Under Fire – Blow
From Ashes to New – Scars That I’m Hiding
Tell me you have a lead or something
Asking Alexandria – Faded Out
Tommy Lee – Tops
Classless Act – Classless Act
I had a nightmare…
Five Finger Death Punch – Darkness Settles In
NOTHING MORE – Tired of Winning
Crossbones Skully – Evil World Machine
How’d you like one minute..
The HU – Wolf Totem
Bad Wolves – If Tomorrow Never Comes
Cory Marks – Burn It Up
Tempt – Living Dangerous
Come on Pussycat, let me hear you purr.
Hyro the Hero – Who’s That Playing on the Radio ?
Cory Marks – Blame It On The Double
10 years ago.
All Good Things – For The Glory
No cameras..
The Retaliators – The Retaliators Theme

Gloomy
Gloomy
Passionnée par le poulet curry, la pizza et de temps en temps la musique.

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